RETRAITES : PRÉPAREZ-LA SEREINEMENT GRÂCE À L’IMMOBILIER LOCATIF GÉRÉ !

RETRAITES : PRÉPAREZ-LA SEREINEMENT GRÂCE À L’IMMOBILIER LOCATIF GÉRÉ !
Mercredi 30 novembre 2022

RETRAITES : PRÉPAREZ-LA SEREINEMENT GRÂCE À L’IMMOBILIER LOCATIF GÉRÉ !

Travailler plus longtemps ? Tenter sa chance en bourse ? Spéculer sur les cryptoactifs ? On ne sait plus comment anticiper l’inévitable perte de revenus lors d’un départ en retraite… Et si l’immobilier géré était la meilleure stratégie d’investissement ?

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LE BILLET RÉSIDE ÉTUDES

Mis à jour le 30.11.2022 à 15H

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66%, c’est le taux médian de remplacement[1] de revenus des Français à la retraite[2]… On peut comprendre que les actifs envisagent toutes les stratégies pour compenser cette baisse prévisible de revenus!

Or, pour une majorité de ménages, le seul recul de l’âge de départ ne suffira pas à contrebalancer une équation budgétaire rendue encore plus délicate en période d’inflation.

Car beaucoup de facteurs concourent à remettre en question la durabilité de notre système de solidarité par répartition. Notamment dans les cas, de plus en plus fréquents, de carrières atypiques ou incomplètes.

De nombreuses astuces permettent toutefois de combler une différence de revenus parfois importante à la retraite. En termes de placement, l’investissement en immobilier locatif géré constitue ainsi l’une des solutions les plus sécuritaires et rentables pour la compenser.

LES FRANÇAIS VOIENT LEURS REVENUS BAISSER À LA RETRAITE, NOTAMMENT EN CAS DE CARRIÈRE INCOMPLÈTE

Oui, il va falloir travailler plus longtemps, et ne pas compter sur le seul système de retraite par répartition. D’autant qu’un nombre croissant d’actifs au parcours « atypique » s’en éloignent.

Si notre système de retraite actuel est financièrement stable[3], son avenir est plus incertain. Car il repose sur une logique de solidarité entre actifs et retraités : les cotisations des premiers finançant les pensions des seconds.

Or, plusieurs éléments viendront, à terme, remettre cet équilibre en question :

  • Une espérance de vie en hausse constante et qui devrait, en France, atteindre environ 89 ans pour les hommes et 91 ans pour les femmes à horizon 2070[4]
  • Un taux d’emploi des seniors encore insuffisant, inférieur de 5 à 15 points à nos voisins européens: 56% pour les 55-64 ans, quand il atteint près de 61% en zone euro et même 72% en Allemagne[5]

Résultat ? Un ratio actifs/inactifs qui, selon l’INSEE, passerait de 2 en 2021 à 1,7 en 2040 puis 1,5 en 2070…

C’est justement pour pallier ces évolutions que de nombreuses réformes se sont succédées depuis plus de 30 ans. Et avec des effets probants,car depuis la réforme « Woerth » de 2010 par exemple, le taux d’emploi des 60-64 ans est passé de 17% à 35%.

Ainsi, alors qu’il était de plus en plus précoce jusqu’au début des années 2000, l’âge de départ en retraite est désormais revenu à son niveau du début des années 1980, soit environ 63 ans[6].

Mais, au-delà des chiffres officiels, ce qui intéresse les Français est leur situation personnelle, notamment si leur carrière n’a pas été rectiligne…

CARRIÈRE INCOMPLÈTE, INDÉPENDANTS : DE PLUS EN PLUS DE FRANÇAIS VONT DEVOIR « FAIRE » LEUR PROPRE RETRAITE !

Car si les dernières réformes ont concouru à pallier les écarts de pension parfois très importants entre catégories d’actifs, elles ne tiennent toujours pas compte des carrières atypiques.

Or, un nombre croissant de Français ne rentrent plus « dans les cases » d’une carrière pleine, progressive et croissante dans le même secteur d’activité.

C’est notamment encore le cas d’une part importante de femmes. Bien que les écarts de montant de pension se résorbent au fil des générations, certaines peuvent acquérir moins de droits à la retraite du fait de plusieurs facteurs :

  • Un taux d’emploi inférieur à celui des hommes, marqué par la maternité[7]
  • Un taux d’activité à temps partiel de 28% contre 8% pour les hommes
  • Une rémunération encore inférieure à leurs homologues masculins du fait du temps partiel, de différences de diplôme, d’ancienneté, d’emplois ou d’autres variables[8]

De même les couples d’expatriés seront confrontés à la problématique d’une cotisation suffisante pour obtenir une pension complète en France. Car à moins d’être en détachement à l’étranger d’une entreprise de l’hexagone, ils ne cotiseront pas au régime de retraite obligatoire…

Plus généralement, le recours accru à de nouvelles modalités de travail contribue aussi à devoir anticiper un faible niveau de retraite.

Aux intérimaires viennent ainsi s’ajouter des travailleurs indépendants de plus en plus nombreux. Exerçant souvent sous forme d’entreprise individuelle, ils voient en effet leur chiffre d’affaires, rarement élevé, ponctionné du paiement des deux cotisations retraite : patronales et salariales.

Mais les futurs retraités du privé eux-mêmes peuvent faire face à une pension incomplète au regard de leur statut.

C’est notamment le cas pour les cadres, dont le régime AGIRC-ARRCO requiert 42 années de cotisation pour bénéficier d’une pension à taux plein. Ces derniers subissent ainsi un malus de 10 % en cas de départ anticipé[9] alors que cette part complémentaire représente souvent plus de 50% du montant de leur retraite totale.

Aussi, chacun va-t-il chercher à optimiser ses ressources futures, en majorant son régime de retraite, et/ou en générant volontairement des revenus complémentaires.

PARMI TOUTES LES SOLUTIONS POSSIBLES, L’INVESTISSEMENT EN IMMOBILIER LOCATIF GÉRÉ APPARAÎT COMME LA MEILLEURE POUR COMPLÉTER SES REVENUS DE RETRAITÉ

Bien que plusieurs astuces permettent d’obtenir une pension complète, le niveau de vie chute généralement au départ en retraite. L’investissement en immobilier locatif géré s’avère alors la meilleure alternative en termes de revenus complémentaires pour tous.

Certains dispositifs minorent ainsi les effets d’une carrière courte ou incomplète sur sa pension retraite.

C’est notamment le cas de beaucoup de femmes travaillant à temps partiel et/ou interrompant leur carrière temporairement ou définitivement. Elles sont ainsi les principales bénéficiaires des dispositifs de solidarité telles que la majoration de durée d’assurance (MDA) accordant 8 trimestres de cotisation par enfant [10].

Il existe aussi d’autres moyens d’augmenter sa durée d’assurance retraite :

  • La « surcotisation » sur la base d’un temps plein pour les personnes à temps partiel (qui peut néanmoins s’avérer couteuse)
  • L’adhésion à la caisse des Français de l’étranger (CFE) permettant aux expatriés de cotiser au régime de base
  • Le rachat de trimestres, sous certaines conditions, pour les salariés du privé[11]

Certains pourront aussi choisir d’allonger leur période d’activité, notamment les cadres au régime AGIRC-ARRCO. Malussés en cas de durée de cotisation inférieure à 42 ans, il leur permet, à l’inverse, de bénéficier d’un bonus par année supplémentaire[12].

D’autres pourront même cumuler emploi et retraite, à l’image des indépendants et les professions libérales. Cette possibilité n’étant toutefois pas ouverte aux salariés et chefs d’entreprise rattachés au régime général une fois leurs droits liquidés[13].

Mais, même optimisés, les régimes de retraite permettent rarement de maintenir un niveau de vie équivalent à celui de fin d’activité… Pour ne pas subir d’électrochoc en voyant ses revenus diminuer de moitié, mieux vaut investir en amont pour améliorer financièrement sa retraite.

RIEN DE MIEUX QUE LES RÉSIDENCES SERVICES POUR DISPOSER DE REVENUS RÉGULIERS !

Ni l’épargne réglementée, peu rémunératrice, ni les spéculations boursières, trop risquées, ne sont en mesure d’assurer la perception d’un complément financier sur plus de 20 années sans obérer son capital.

Et s’il existe de nombreuses solutions de placements « retraite », le choix d’un placement financier se fera toujours en positionnant le curseur d’un côté ou de l’autre du couple rendement/risque…

Ainsi, l’immobilier locatif apparaît-il comme une solution idéale pour percevoir des revenus réguliers grâce aux loyers encaissés. Se pose alors la question d’une gestion en direct ou d’un investissement « clé en main » en résidence pour seniors ou étudiants...

Si le choix d’un bien géré en résidence services est le plus adapté à l’objectif retraite, c’est pour de multiples raisons:

  • La qualité du bien, soumis à de nombreux facteurs lorsqu’on investit seul (emplacement, valorisation, conformité DPE, copropriétaires, etc.), elle est assurée lorsqu’on fait appel à un promoteur-exploitant de référence
  • Son entretien courant mais aussi en cas de travaux de rénovation dans le temps, tant sur les parties privatives que communes
  • Sa gestion locative, soumettant le bailleur en direct à la connaissance et au respect d’une multitude de critères (plafonnement de loyers, gestion en cas d’impayés, etc.) quand elle est intégralement prise en charge par le gestionnaire de la résidence

Enfin, c’est l’assurance de percevoir un complément retraite régulier sous le régime fiscal le plus favorable en termes de revenus locatifs[14] qui fait de l’investissement en résidence services le placement « retraite » par excellence !

INVESTIR AVEC RÉSIDE ÉTUDES, C’EST ANTICIPER SA RETRAITE AUJOURD’HUI POUR NE PAS AVOIR À Y PENSER DEMAIN !

Chez RÉSIDE ÉTUDES, cela fait plus de 30 ans que nous commercialisons des solutions de placement en immobilier locatif géré répondant aux impératifs des (futurs) retraités.

Générateur de revenus complémentaires, performant sur la durée et bénéficiant de nombreux atouts fiscaux, l’investissement en résidence services coche toutes les cases de l’outil retraite idéal!

Choisir un expert des résidences gérées c’est avoir accès à un investissement, partout en France, dans la résidence seniors ou étudiante correspondant à votre profil tout en étant libéré des contraintes de gestion qui y sont liées.

Que vous cherchiez à générer des revenus complémentaires ou à vous constituer un socle patrimonial immobilier, nos conseillers dédiés RÉSIDE ÉTUDES sauront vous accompagner dans la recherche de l’investissement le plus adapté à votre situation et à vos projets.

RÉSIDE ÉTUDES : POUR PRÉPARER SA RETRAITE L’ESPRIT SEREIN !

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Régulièrement, RESIDE ETUDES promeut l’investissement locatif en résidences services ou profite d’un point d’actualité´ pour ouvrir le débat et informer ses clients et prospects investisseurs.

Ces brèves et articles ne constituent pas forcément l’expression ou le reflet des positions ou opinions propres de l’entreprise.

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[1]Mesuré en rapportant la pension médiane brute des 65-74 ans aux revenus d’activité médians bruts des 50-59 ans (hors prestations sociales) en 2019 par la Commission Européenne

[2]Source :rapport annuel du Conseil d’orientation des retraites(COR) de septembre 2022.

[3]Pour 2021, notre système de retraite affichait un excédent de 900 millions d’euros, le déficit des régimes de base du privé étant plus que compensé par les excédents de leurs régimes complémentaires, les régimes des fonctionnaires et indépendants étant quasiment équilibrés (Cf. Source2)

[4]Cf. Source2

[5]Source : article «Le trop faible taux d’emploi des seniors en France est un gâchis» par Alain Ruello, paru dans LES ÉCHOS du 21 octobre 2022

[6]63,3 ans en âge conjoncturel (par génération), 62,9 ans en âge moyen selon le COR pour le secteur privé en 2020 (Cf. Source2)

[7]L’écart le plus important (8 points) se situant dans la tranche 25-49 ans. Source : INSEE, Enquête emploi, 2021

[8]Cf. Source2

[9]Durant leurs 3 premières années à la retraite (jusqu’à 67 ans)

[10]Elle est automatiquement accordée aux femmes pour chaque enfant né avant 2010. Depuis, 4 leur sont accordés d’office, les 4 autres pouvant être répartis ou attribués à l’un ou l’autre des parents dans les 6 mois suivant le 4eanniversaire de l’enfant. Cf. Source2

[11]Il n’est possible qu’au titre des années d’études supérieures, d’années incomplètes de cotisations ainsi que de certaines périodes d’apprentissage et autres cas bien définis : voir la fiche «Retraite dans le privé : rachat de trimestres» du 1erjanvier 2021 sur le site SERVICE-PUBLIC

[12]Voir l’article «Retraite : comprendre le jeu de la décote et de la surcote» par Roselyne Poznanski paru dans LES ÉCHOS du 25 octobre 2022

[13]Source : article «Retraite : tout savoir sur le cumul emploi retraite en 8 questions clés» par Nathalie Cheysson-Kaplan, paru dans LES ÉCHOS le 23 mars 2022

[14]Voir notre article dédié «Fiscalité, patrimoine : quand le LMNP majore les atouts de l’immobilier locatif !» paru sur notre blog investisseurs RÉSIDE ÉTUDES le 24 octobre 2022

Pour aller plus loin :


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